Sparkle-Moon

Dimanche 22 novembre 2009 à 12:44

 "J'aimerais être un flan. Un flan aux abricots."


"Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie..."

 
"Francais ? J'adore la mayonnaise."


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Montaigne, Essais


Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : «Parce que c'était lui, parce que c'était moi.»


[...]


Il n'est action ou imagination, où je ne le trouve à dire, comme si eust-il bien faict à moy : car de mesme qu'il me surpassoit d'une distance infinie en toute autre suffisance et vertu, aussi faisoit-il au devoir de l'amitié.





Quis desiderio sit pudor aut modus
Tam chari capitis ?

O misero frater adempte mihi !
Omnia tecum unà perierunt gaudia nostra,
Quæ tuus in vita dulcis alebat amor.
Tu mea, tu moriens fregisti commoda frater,
Tecum una tota est nostra sepulta anima,
Cujus ego interitu tota de mente fugavi
Hæc studia, atque omnes delicias animi.
Alloquar ? audiero nunquam tua verba loquentem ?
Nunquam ego te vita frater amabili
or,
Aspiciam posthac ? at certè semper amabo.

Samedi 31 octobre 2009 à 23:02

 


D'après Oscar Wilde, n'importe qui peut compatir aux souffrances d'un ami, mais seule une personne exceptionnelle est capable de se montrer sensible au succès d'un ami.


*


Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes. Mais qu'est-ce qu'un ami ? Et bien, un ami, je vais vous le dire. C'est une personne avec qui vous pouvez mettre votre coeur à nu. Il ne vous demande pas d'être meilleur ou pire. Vous pouvez lui avouer vos petites vanités, envies, haines, méchancetés et absurdités. En les dévoilant, vous les noyez dans l'océan de sa loyauté. Il vous comprend, il vous comprend vraiment. Vous pouvez pleurer avec lui, pécher avec lui, rire avec lui, parler avec lui. Et à travers tout ça, il vous voit, il vous connaît et il vous aime.  Et cette année, et celles d'avant aussi, j'ai eu la chance d'en connaitre. J'ai la chance de pouvoir compter sur des personnes, des amis, qui sont là pour moi. Je me rends compte que je suis entourée de personnes formidables, uniques, et à qui je tiens beaucoup. Je ne voudrais pour rien au monde les perdre... Même si je ne le dis pas toujours, que je ne montre pas mes sentiments envers ces personnes, je les adore, et rien ne me fera changer d'avis.


 C'est tout simplement une personne avec qui vous osez être vous-mêmes.


*


" En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et se confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant: «Parce que c'était lui, parce que c'était moi.» "
 
 
Montaigne


 
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Vendredi 16 octobre 2009 à 23:48

http://sparkle-moon.cowblog.fr/images/dddddd.jpgMes questionnements récents tournent autour d'un sujet en apparence très simple : l'amitié. Qu'est-ce que l'amitié, qu'est-ce qu'un ami?
Pour examiner mon historique en matière d'amitié, si je peux m'exprimer ainsi, il me faut retourner en arrière - l'enfance. À cette époque, tout était simple - j'étais ami avec tout le monde qui m'entoure, garçon ou fille, sans discrimination. Les seuls facteurs déterminants semblaient être l'âge et la proximité. Tu as environ le même âge que moi et tu habites à côté? Et voilà, on est les meilleurs amis du monde.

Dans mes souvenirs vagues de mon enfance, je distingue que des amis ou des "ennemis", des gens que je détestais. Tout semble blanc et noir, sans nuance. Très simpliste... Dire que nous retrouvons encore ce schéma de "bon" et "méchant" dans le cinéma, de nos jours - est-ce un résidu de notre perception enfantine des relations humaines? Est-ce que certains restent figé à ce niveau ou bien cette perception du monde reste inscrite dans notre subconscient? (Hmm...)

À l'adolescence, les choses se compliquent - l'amitié devient primordiale, le centre des préoccupations du pauvre ado. L'appartenance à un groupe devient essentielle - la pire calamité, à cette période c'est d'être rejeté, d'être marginal.

Maintenant, je suis habitué à être différent et d'une certaine façon, hors de la norme, malgré moi. Mais à cette époque, comme tout le monde, je tenais à tout prix à appartenir à un groupe. Les amitiés se formaient souvent par obligation, par peur d'être rejeté, par désir d'appartenance. Ce ne sont pas de bases très saines pour créer une amitié - je me souviens avoir passé des années en compagnie du même groupe d'amis, qui pourtant avaient peu d'intérêts communs avec moi et me traitaient bêtement.

La solitude m'effrait.

Dimanche 11 octobre 2009 à 17:18

 

TAUREAU:
 2ème signe du zodiaque, gouverné par Vénus.



                                                                                                                                                                                                                                                                      
Ce signe de terre ne désire qu'une seule chose, tout simplement qu'on le laisse tranquille. C'est un être conservateur, routinier et fortement ancré dans ses habitudes. Très attaché à ses souvenirs, il reste fidèle aux valeurs reçues tout au long de son enfance.
De nature solide on peut compter sur ce natif en toutes circonstances. Calme, paisible et généreux il prend ses décisions après mûre réflexion. Cette forte personnalité est très http://sparkle-moon.cowblog.fr/images/-copie-2.jpgsensible et peut accumuler ses peines et ses émotions dans le silence. Mais tout comme l'animal désigné par ce signe, si vous le provoquez ou si vous le poussez trop loin, il risque de se mettre très en colère. Alors n'abusez pas de sa générosité et de son hospitalité.
Rancunier et vindicatif, il ne plaisante pas quand il est vexé. Ne cherchez pas à le détourner de ses convictions, car son plus grand défaut est l'entêtement et ce n'est que par lui-même qu'il prendra conscience de ses erreurs. Le Taureau est un être courageux qui construit son avenir lentement mais sûrement.
Cependant son obstination, son impulsivité et son orgueil peuvent parfois nuire à l'harmonie de ses relations sociales.
 Ce natif aspire aux honneurs et se prête aux amours, aux plaisirs et au luxe avec volupté. Ce natif a souvent une constitution de fer et il est prêt à travailler dur pour faire fructifier ses acquis. Imaginatif et talentueux le Taureau s'assagit après une jeunesse dissipée.
Gouverné par la planète Vénus le natif du Taureau est de nature sensuelle, romantique et possessive. Ce terrien accorde une grande importance à l'amour, mais la jalousie va de pair avec sa possessivité.
Malgré sa lenteur et son entêtement il tient beaucoup à une vie affective intense et durable. Possessif et matérialiste, le Taureau offre à sa famille la sécurité et le confort. Il se donne beaucoup de mal pour prouver son amour et attend d'être payé de retour. Il ne s'engage jamais à la légère mais une fois que son choix est fait il fera preuve de fidélité car la stabilité affective est nécessaire à son bonheur.La tendresse et la simplicité seront vos meilleurs atouts pour venir à bout de ce natif méfiant.
Ce signe de terre est très attaché aux traditions de sa jeunesse. Rancunier et vindicatif il ne prend pas facilement des décisions mais il renverse tous les obstacles sur la route qui le sépare de la personne qu'il a choisie.
La femme Taureau recherche avant tout la sécurité matérielle et le confort du foyer. Elle aime étaler sa richesse et abuse parfois de vêtements de luxe ou de parures voyantes. Dévouée et fidèle elle fait une bonne épouse et mère de famille mais aussi une excellente fille de joie. Séduisante et sensuelle, cette femme de tête est jalouse et possessive.
Le Taureau est perpétuellement à la recherche de sécurité. Il possède un potentiel énorme pour les affaires. Sa volonté d'aller de l'avant est soutenue par une intelligence brillante. Doté d'une fine intuition et d'un bon sens pratique, il fait un bon meneur d'hommes autant qu'un bon employé. L'employé Taureau est honnête mais déteste toute forme de complication préférant la tranquillité à la perturbation de ses habitudes.
Sédentaire, il n'aime pas les changements et prendra son temps pour réfléchir avant de donner son accord à toute décision importante. En tant que natif vénusien il possède le sens de la diplomatie qui le rend populaire vis à vis de ses collègues et subalternes. Sa loyauté envers la hiérarchie fait de cet employé un être dévoué et loyal.           




Samedi 26 septembre 2009 à 10:50

Ce matin, je suis retombée sur cette chanson de Billy ze Kick, et maintenant, je l'écoute en boucle. (Pour Lucile, ça te rapelle pas quelque chose cette douce mélodie ? Oui oui, avec le petit mouton et le petit cheval, avec la petite radio bleu et la petite cassette, avec les playbacks des peluches ? Non, ça te dit rien ? A bon, bizarre ça !)

Quand je regarde ces autres chansons, je me demande quand même un truc, il a pas honte de ce qu'il a fait ? Surtout avec OCB. Enfin après j'dit ça mais bo, j'dit rien ; )

Bon je vais vous mettre les paroles, comme ça, vous allez l'avoir dans la tête aussi !
 
 
MOUHAHAHAHAHAHA !


Un après-midi d'automne,
On avait trouvé un moyen de locomotion,
Alors on est parti à la cambrousse.
Les champs étaient humides et suffisamment acides.
C'était le bon moment pour aller cueillir
Des champignons.

Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
C'est le chant du psylo qui supplie,
Qui joue avec les âmes
Et ouvre les volets de la perception.

Il pleuvait beaucoup, ce jour là.
Heureusement on avait des capuches
Et surtout des pochons solides.
Là-bas, les vaches nous regardaient
D'un air complice et détendu.
Y avait plus qu'a s'y mettre
Pour assurer la cueillette.

Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
C'est le chant du psylo qui supplie,
Qui joue avec les âmes
Et ouvre les volets de la perception.

Est-ce que c'est un bon ?
Mais non c'est pas un bon
Car y a pas de téton
Et puis il est trop plat.
Il a pas la bonne couleur.
Ne nous décourageons pas.
Ouvrons les oreilles et écoutons.

Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
C'est le chant du psylo qui supplie,
Qui joue avec les âmes
Et ouvre les volets de la perception.

Oh toi, tu marches comme un canard
Mais c'est pour mieux les voir.
Oh putain, j'ai mal au dos
Y faudrait un détecteur.
Tiens voilà un mégot d'pétard.
Ça doit être un très bon champ
Ou alors y'en a qui sont passés déjà
Et sûrement qu'ils ont tout raflé.

C'coin la, c'est sûr, il est connu.
Putain, franchement, comment veux-tu ?
Maintenant il est trop tard.
On est bien avancés.
On a les pieds tout mouillés.

Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Plutôt que de m'écraser,
Pourquoi ne pas me manger ?

Un après-midi d'automne,
On avait trouvé un moyen de locomotion,
Alors on est parti à la cambrousse.
Les champs étaient humides et suffisamment acides.
C'était le bon moment pour aller cueillir
Des champignons.

Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
C'est le chant du psylo qui supplie,
Qui joue avec les âmes
Et ouvre les volets de la perception.

Gare, à la descente,
Gare, à la descente,
Gare, à la descente...

Hum, sinon, le lit deux place est arrivé dans ma chambre, et ça, c'est cool ! En plus c'est le week end, mais bon, y'a pas cheval aujourd'hui, mais c'est reporté à dimanche, à cause des championnat d'europe (d'ailleur bon courage Kamille avec le petit Masc). Je vais vous laissez admirer cette "magnifique" vidéo avec son "super" clip !


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