Sparkle-Moon

Mercredi 21 avril 2010 à 14:22

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Dès fois j'ai l'impression d'être insignifiante aux yeux des autres, comme si, le semblant d'amitié qui nous liait s'était envolé,et que j'étais devenu une simple inconnue . Impression assez impromptue, je me demande dès fois si je ne gène pas les gens qui m'entourent, comme si je respirais leur propre air . .Ma présence ne change rien chez certains, ils pourraient presque en oublier que j'existe,heureusement que d'autres gardent une place libre, toujours chaude pour m'accueillir. A ceux là, je laisserai un fauteuil en velour où leur nom serait marqué en lettre d'or. Car la simple image de leurs visages dans ma tête me rend le sourire, me rappeler de tous ces bons moments passés ensembles me fait encore rigoler même si personnes ne comprend pourquoi je souris bêtement sans dire mot, seulement en me remémorant ses images gravées dans ma tête, qui ne s'effaceront jamais.Alors simplement, merci d'être là pour moi.

Lundi 19 avril 2010 à 19:47

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Le cheval (Equus caballus) est un grand
mammifèreherbivore et ongulé appartenant à l'une des sept espèces de la famille des équidés. Il a évolué au cours des dernières 45 à 55 millions d'années à partir d'un petit mammifère possédant plusieurs doigts pour devenir l'animal à sabot unique que l'on connait aujourd'hui. L'utilisation de cet animal domestiqué il y a environ 5 500[1] ou 4 000 ans se serait répandue de 3 000 à 2 000 ans av. J.C. à toute l'Eurasie. Bien que la quasi-totalité des chevaux soient aujourd'hui domestiques, le cheval de Przewalski est considéré comme le dernier vrai cheval sauvage, et il existe de nombreux chevaux domestiques retournés à l'état sauvage.

Il s'agit d'une espèce animale employée par l'Homme et celui-ci a développé un vaste vocabulaire spécialisé pour décrire les concepts liés au cheval. Ce lexique va de son anatomie et sa morphologie aux étapes de sa vie en passant par sa couleur, ses races, sa locomotion et son comportement. En ce qui concerne les spécificités liées à l'espèce, les chevaux comptent sur leur vitesse pour échapper aux prédateurs, ont un bon sens de l'équilibre, un fort instinct de fuite et un trait inhabituel dans le règne animal : ils sont capables de dormir debout tout comme en position couchée. Les femelles, appelées juments, mettent bas après onze mois de gestation un petit nommé poulain. Celui-ci peut se lever et courir peu de temps après sa naissance. La plupart des chevaux domestiques sont dressés pour l'équitation entre l'âge de deux et quatre ans. Ils atteignent leur plein développement à cinq ans en moyenne et leur durée de vie va environ de vingt cinq à trente ans.

Des siècles durant, les chevaux furent des animaux de guerre et de transport au service des hommes. Ils permirent l'essor du commerce et l'expansion de civilisations sur de grandes étendues. Considéré comme « la plus noble conquête de l'homme », présent dans les mythes, les légendes, nombre d'encyclopédies spécialisées et toutes les formes d'art, le cheval est, de tous les animaux, celui qui a sans doute le plus marqué l'histoire et les progrès de l'humanité[2]. Il est à l'origine de métiers liés à son entretien, son commerce ou aux activités sportives d'équitation, les plus célèbres étant les sports hippiques. Dans la plupart des pays développés, le cheval est désormais monté pour les loisirs et les compétitions sportives, mais il peut également être utilisé en thérapie, ou pour la production de biens de consommation grâce à sa viande, son lait, son cuir et même son urine. Dans d'autres pays, le cheval reste un partenaire indispensable à l'agriculture et au transport. L'entretien des chevaux domestiques demande un matériel particulier et l'attention de spécialistes.

Les chevaux sont divisés en trois types selon leur tempérament : les sang chaud caractérisés par leur vitesse et leur endurance, les sang froid, plus lents et destinés aux travaux pénibles, et les demi-sang, ou warmbloods, issus de croisements entre des chevaux à sang chaud et à sang froid, qui sont souvent destinés aux sports équestres en particulier en Europe. Il existe plus de 300 races de chevaux dans le monde aujourd'hui.


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Mardi 23 février 2010 à 21:57

"J'veux pas être la fille qui chamboule ton coeur, qui compresse tes poumons, qui te fait tourner la tête, celle à qui tu veux décrocher la lune et pour qui tu donnerais ta vie. Je veux juste être la personne qu'on retrouve dans ton sourire, même si ce n'est qu'une esquisse. Je veux juste que tes yeux brillent étrangement quand tu entends mon nom. Celle qui vient parfois se glisser dans tes rêves, mais pas en tant qu'héroïne, mannequin ou grande exploratrice, non, juste en figurante, mais la figurante qui te donne un coup de pouce quand tu en as besoin. Je veux que tu penses à moi quand tu vois une étoile. Je veux retrouver un peu de moi dans tes éclats de rire. Mais c'est peut-être trop te demander."

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"On vit...comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore... Chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu'un d'autre, on sort ailleurs. Mais c'est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à la réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustrés pour l'éternité, soir on y parvient, et on se rend compte qu'on s'en fout. Et puis on crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça, on a singulièrement envie de boucler la boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l'inconnu. Du pire. Et puis qu'on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu'à ce que le sang gicle... On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tentede jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l'accident, on prend tropde coke, on frôle l'overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d'hommes d'affaires, qui dégénèrent à ce point là, c'est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d'autresqui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien."




***


Parce que la vie est faite de bonnes et de mauvaises choses, il faut en profiter, vivre l'instant présent, dire ce que l'on pense, rester avec les personnes qu'on aime, se jeter à l'eau, prendre sa vie en main.

♥ J'ai des amis Formidables ♥

Mardi 23 février 2010 à 21:49


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« Si j'avais su que j'allais crever ici j'aurais vécu autrement. J'aurais baisé sans préservatif, voyagé davantage, essayé l'héroïne & l'opium. J'aurais fait moins d'études et perdu moins de temps. J'aurais tenté plus souvent ma chance avec les femmes au lieu d'avoir sans cesse la trouille d'être humilié. J'aurais dû être un gangster , braquer des banques au lieu d'obéir bêtements aux lois. Je n'aurais pas arreté de fumer. Pour proteger quoi ? Ma santé ? J'aurais fondé un groupe de rock , quitte à crever la dalle plutôt que de faire un métier gonflant pour l'argent. J'aurais viré mon boss beaucoup plus tôt. J'aurais vécu à New York, porté un long manteau noir & des lunettes de soleil en pleine nuit, mis de la crèmeautobronzante toute l'année. J'aurais acheté plus de voitures : quel gâchis, tout cet argent que je ne dépenserais jamais. J'aurais essayé de me faire cloné. Je me serais raséela tête, pour voir. J'aurais dû tuer des gens, pour voir. J'aurais dû prendre plus de risques puisque, de toute façon, j'ai tout perdu. Ou alors j'aurais simplement ddû essayer d'être un homme meilleur.»





Mercredi 10 février 2010 à 14:26


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Je joue avec le feu, la tête en état d'âme et je fais de mon mieux pour me descendre en flamme... ca doit être ma pénitence, une sorte de punition, un genre d'épreuve dans l'existence dont faudrait qu'j'fasse l'initiation.

**

 

Arthur régla sa note au comptoir de l'hôtel. Il avait encore le temps de faire quelques pas dans le quartier. Le bagagiste lui remit un ticket de consigne qu'il enfouit dans la poche de sa veste. Il traversa la cour et remonta la rue des Beaux-Arts. Les pavés lavés à grands jets d'eau séchaient sous les premiers rayons de soleil. Dans la rue Bonaparte, quelques devantures s'animaient déjà. Arthur hésita devant la vitrine d'une pâtisserie et poursuivit son chemin. Un peu plus haut le clocher blanc de l'église de Saint-Germain-des-Prés se découpait dans les couleurs de cette journée naissante. Il marcha jusqu'à la place de Fürstenberg, encore déserte. Un rideau de fer se levait. Arthur salua la jeune fleuriste vêtue d'une blouse blanche qui lui donnait une ravissante allure de chimiste. Les bouquets anarchiques qu'elle composait souvent avec lui fleurissaient les trois pièces du petit appartement qu'Arthur occupait il y a deux jours encore.
La fleuriste lui rendit son salut, sans savoir qu'elle ne le reverrait pas.
En rendant les clés à la gardienne la veille du week-end, il avait refermé la porte sur plusieurs mois de vie à l'étranger, et le plus extravagant projet d'architecture qu'il avait réalisé : un centre culturel franco-américain.
Peut être reviendrait-il un jour en compagnie de la femme qui occupait ses pensées. Il lui ferait découvrir les rues étroites de ce quartier qu'il aimait tant, ils marcheraient ensemble le long des berges de la Seine où il avait pris goût à se promener, même les jours de pluie, fréquents dans la capitale.
Il s'installa sur un banc pour rédiger la lettre qui lui tenait à cœur. Quand elle fut presque achevée, il referma l'enveloppe en feuille de Rives sans en coller le rabat et la rangea dans sa poche. Il regarda sa montre et reprit le chemin de l'hôtel.
Le taxi ne tarderait pas, son avion décollait dans trois heures.
Ce soir, au terme de la longue absence qu'il s'était imposée, il serait de retour dans sa ville.

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